Alors mes pieds trouveront douce la poussière
mes yeux ne seront plus heurtés par le haut ciel
j'aurai la liberté dans l'âme comme un miel
On me regardera passer, on m'oubliera
mon pas redeviendra semblable au pas du vent
mais je serai toujours, coeur las, auprès de vous
pour retrouver les mots qui calment vos tourments.
in "le chevalier"
Poésie complète
Georges Haldas
Editions l'Âge d'Homme
David Galstyan (Armenia)